vendredi 6 septembre 2013

Budapest !

Troisième capitale du voyage. Elle s'est fait désirer, mais on lui pardonne, elle est tellement belle. Atteindre le camping à l'autre bout de la ville est un gymkana au jugé entre les piétons et les autres cyclistes. Et pas question de s'arrêter pour prendre une photo du Parlement. Le flot vous entraîne, il faut avancer, quels que soient votre fatigue ou un simple désir de regarder. Ici, les pots catalytiques sont sûrement un luxe. On étouffe, on a mal à la tête. Nadine maudit déjà son sort et elle n'a pas encore vu le dernier carrefour de la mort qui nous sépare de l'écurie. Malgré les apparences, il est franchissable et nous nous regardons, incrédules : un parc attend nos tentes en pleine ville, loin du tumulte.
Par rapport à la dernière fois, il y a 4 ans, j'ai aimé voir le grand nombre de monuments en rénovation au bord du Danube. L'un d'eux était même en train de sortir de terre dans un chantier de fouilles en pleine ville. On dirait que Budapest regarde vers l'avenir.

4 commentaires:

  1. Coucou à Chantal de Budapest de Sophie de Vérone.
    J'ai bien aimé la blague de la sirène postée jeudi dernier!
    Biz

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, on s'est bien amusées à la mettre en scène avec Nadine !

      Supprimer
  2. Budapest, merci de me faire découvrir cette magnifique ville,
    malgré les maux de tête il doit être difficile de la quitter
    photos, photos, photos!!
    gros mimis à la Sirène

    RépondreSupprimer
  3. Je n'ai pris que cette photo... il y a 4 ans ! En vélo dans la ville, c'est dangereux de s'arrêter pour une sirène.

    RépondreSupprimer