jeudi 4 avril 2013

Sponsors

La course au financement est mal engagée. Pour l'instant, seule la pharmacienne m'a fait un chèque de 50 € parce que le projet lui plaisait par son aspect "santé des seniors". Grâce lui soit rendue, car elle n'en retire aucun avantage, puisque les pharmacies n'ont pas le droit de faire de la publicité.

Le bar à tapas a eu une initiative intéressante, consistant à mettre mon dossier, accompagné d'une tirelire, en vue à côté de la caisse, un endroit stratégique où tout le monde doit passer.

Du coup, j'ai réitéré la méthode à l'Aire du Temps (Moliets), un magasin d'artisanat et de produits du terroir. Pour peu que les commerçants, convaincus de l'affaire, en parlent avec enthousiasme, les clients pourraient se laisser aller à leur générosité.

La palme d'or du "sponsor" le plus pathétique : Carrefour Market de Léon, où je suis pourtant cliente au quotidien. Non seulement le directeur m'a refusé son aide, ce qui après tout est son droit, mais il n'a même pas pris la peine de s'abriter derrière des prétextes bidon ou derrière sa hiérarchie. Un sourire gêné ? Pensez donc ! C'était juste non, et pas le moindre effort d'intérêt pour le projet, pas de souhait de bonne chance, rien. Pas même des bons d'achat, après les avoir vaguement évoqués comme une simple figure rhétorique. Dommage pour lui, il a perdu une bonne cliente, et qui le fera savoir.
Voilà, c'était le coup de gueule qui fait du bien !

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